Le voyage de Dagobert continue. Son rêve aussi. Il voyage sur sa trottinette, qui cette fois-ci, s’envole dans les cieux. Il arrive enfin à New-York. Il penche sa tête pour admirer les gratte-ciels de la Cinquième avenue. Les voitures passent et repassent sans cesse. Le trafic est dense, il y a même des embouteillages. Mais lui, avec sa petite trottinette, il faufile à travers les longues files interminables de voitures. Il adore les grandes avenues et ses belles vitrines. Mais New-York est très grande et il s’y perd. Il demande à un petit garçon qu’il rencontre :

-          Bonjour petit, comment t’appelles-tu ? moi, je m’appelle Dagobert.

-          Je m’appelle Bill. D’où viens-tu ?

-          Je viens de France, et j’admire votre beau pays. Hélas, je ne trouve pas la direction de la fameuse statue de la liberté.

-          Viens avec moi, ça ne sera pas très loin, et je t’emmènerai après à visiter d’autres merveilles.

-          Oh ! je la voix, regarde comme elle est superbe et grande !

-          C’est Bartholdi qui l’avait construite en 1884.

-          On dirait une vraie dame drapée dans une toge ! Vois-tu  la torche qu’elle tient à la main droite ?, Puis-je aller la contempler de près ?

-          Mais non, pour cela, il te faut gravir 354 marches.

Bill emmène ensuite Dagobert au central parc. C’est le poumon de New-York. Tout le monde s’y promène et s’y détend.

Dagobert profite des nombreux sentiers qui sillonnent le parc. Il admire aussi, les espaces verts et les massifs floraux. Son ami Bill l’a invité à savourer un Hot-dog new-yorkais auprès des nombreux marchands ambulants.

Broadway fut une autre étape de leur promenade. Ensuite, le Grand Central Terminal et ils ont vu une très grande horloge. Enfin, il le prend pour une balade au bord de l’îlot où baigne la statue de la liberté.

Soudain, Dagobert trébuche et tombe dans l’eau. Il se réveille. C’était un rêve, un beau rêve !